La femme objet prêtée

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il y a 6 ans

La femme objet prêtée

Je m’appelle Julie, j’ai tout juste 24 ans, et je vis depuis deux ans avec mon petit copain, Bastien, qui a un an de plus que moi. Lui est très porté sur « la chose », et moi, je ne crache pas dessus (sauf quand je suce). Mais Bastien est très partisan de la « femme objet » et de l’échangisme, que nous n’avons pas encore pratiqué. Par contre, moi, j’avais un petit fantasme, si je peux dire… faire l’amour avec un homme noir. Un jour, après avoir fait l’amour, je l’ai dit à Bastien.

Début juillet, alors que nous étions en vacances, il m’a annoncé qu’il venait juste de faire la connaissance d’un couple très sympa de notre âge, et qu’il les avait invités le soir à venir casser la croûte chez nous. Vers 19 heures, on a sonné à la porte. Je suis allée ouvrir. Bastien s’est précipité derrière moi et me les a présentés : elle, c’était Sophie, et lui, Goma, un Sénégalais, grand et très athlétique, à la peau très sombre.

On a servi l’apéro et on s’est mis à discuter. Goma posait des questions à Bastien sur ses activités, ses hobbies. De fil en aiguille, on s’est fini la bouteille de pastaga. La conversation a un peu dérivé. Sophie nous a raconté que, suite à une petite intervention chirurgicale qu’elle avait subie, son médecin lui avait fortement recommandé de ne pas faire l’amour pendant deux mois. Bastien a regardé son nouveau copain et s’est moqué en lui disant : « Ça doit être plein ! » Goma a acquiescé, un peu crispé. Et Bastien de lui proposer : « Si tu veux, je te prête ma femme ce soir, si Sophie accepte, bien sûr. » Sophie était d’accord.

Elle a même ajouté qu’au moins, comme ça, elle saurait avec qui son mari se vide les couilles. Sauf que la femme en question, c’était moi. Je voulais réagir, mais Bastien s’est mis à me déshabiller, sans me donner le temps de protester. Il a invité Goma à l’aider. J’ai un peu râlé, sous le regard de Sophie qui rigolait, mais je dois avouer que ça me plaisait. Ma petite culotte n’a pas eu le temps d’être mouillée, on me l’a enlevée. En cinq minutes, je me suis retrouvée entièrement nue dans mon salon, sous le regard de trois personnes.

J’étais toute rouge, mais j’avais bien l’impression que j’étais la seule à être gênée. Goma a baissé son slip pour me montrer son beau bâton noir. Sophie m’a dit : « Allez, viens sucer sa réglisse, il adore ça. » Ne sachant pas quoi faire, je suis restée debout, immobile. Goma m’a attrapée et donné une fessée. Puis, il m’a ordonné de le sucer. J’ai regardé Bastien, qui paraissait très intéressé par la scène. Il n’avait manifestement pas l’intention de réagir. Je me suis agenouillée et j’ai enfourné l’énorme machin de Goma dans ma bouche. Lui, il m’a tenu la tête et pressé la nuque.

Au bout d’un moment, il n’avait pas encore joui, il m’a ordonné de me mettre à quatre pattes, « comme une petite chienne« … Il est passé derrière moi, a pris un glaçon dans le bol, sur la table, et me l’a fourré à l’entrée de la chatte. Avec sa bite, d’un coup sec, il me l’a introduit tout au fond. J’ai crié. La sensation de froid a vite disparu sous les coups de boutoir de Goma. Il s’amusait à sortir et à rentrer brusquement. À un moment, il a saisi sa bite et s’est branlé un peu au-dessus de mon visage, jusqu’à décharger. Bastien aussi me le fait souvent. Sophie a ri, elle se massait les seins et tirait sur ses tétons, je voyais bien qu’elle aurait aimé être à ma place, à ce moment-là.

Goma a dit à Bastien : « J’ai fini, je te laisse la place, merci ! » Mon copain est venu me baiser à son tour. Bastien a déchargé en cinq minutes, même pas. J’avais la chatte un peu meurtrie après tout ça. J’ai vite proposé qu’on passe à table, parce que Goma avait eu le temps de rebander, et moi, je voulais une pause. Après un brin de toilette, on s’est installés pour dîner. Moi toute nue, les garçons sans leur slip. Au café, Goma a dit qu’il avait encore envie de me tirer. Bastien lui a répondu : « Vas-y, ma femme est à toi. » Goma m’a prise par le bras et m’a assise sur sa bite raide. Sophie, elle, m’a pincé le minou en me glissant : « Il en veut toujours plus. Tu as vu comme sa batterie est bien rechargée ? »

Quand on s’est couchés, ce soir-là, j’avais un petit peu « mal aux fesses. » On est allés chez Goma et Sophie la semaine d’après, et j’ai eu le droit à la même séance, sauf que cette fois, j’avais les mains attachées dans le dos. Je dois reconnaître que mon fantasme a été réalisé, un peu malgré moi… Mais quel morceau à avaler ! Voilà l’histoire vécue d’une petite nana un peu soumise d’Auxerre.

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